Des erreurs se sont glissées dans le texte publié le 30 novembre dernier, intitulé « L’ancien chef de la nation crie d’Oujé-Bougoumou connaîtra sa sentence en avril prochain ». Après vérifications, nous tenons à apporter une rectification importante afin d’éviter toute confusion auprès de nos lecteurs.
Premièrement, il a été incorrectement affirmé que Curtis Bosum avait démissionné de son poste de chef de la nation crie d’Oujé-Bougoumou. En réalité, M. Bosum n’a jamais quitté ses fonctions par une démission. À la fin de son mandat en 2023, il a pris la décision de ne pas se porter candidat lors des élections qui ont suivi. Cette décision, prise à l’issue de son mandat, relève d’un choix personnel et s’inscrit dans le cadre normal des processus électoraux au sein de la communauté.
Deuxièmement, il est important de préciser que les accusations portées à l’encontre de M. Bosum en lien avec deux incidents distincts ont été retirées. Les premières accusations concernaient la possession non autorisée d’armes à feu en mai 2022, ainsi que la seconde portait sur des allégations de voies de fait en août 2023. Après examen de la preuve, toutes ces accusations ont été retirées par le DPCP et il a été confirmé que M. Bosum ne fait désormais plus face à la justice en ce qui concerne ces dossiers.
Ces précisions visent à corriger les informations précédemment publiées dans notre édition du 30 novembre dernier. Notre engagement envers l’exactitude des faits et la rigueur journalistique demeure notre priorité. Nos excuses les plus sincères à M. Curtis Bosum ainsi qu’à toutes les personnes qui auraient pu être impactées par ces erreurs. Comme média responsable, il nous revient de rectifier les faits et de publier la présente rétractation.