S’il devait devenir une mine, le projet polymétallique Scott, que Ressources Yorbeau envisage de développer dans la région de Chibougamau, serait doté d’une durée de vie estimée à 15 ans. Dans l’univers minier, le projet Scott est reconnu pour avoir valu à son promoteur de l’époque, Ressources Cogitore, le prix de la Découverte de l’année […]
Cette fois sera-t-elle la bonne? Après être passée dans les mains de plusieurs propriétaires, l’ancienne mine Estrades vient d’être acquise par Galway Metals, qui croit fermement que la relance des opérations y est possible dans un avenir proche.
Après avoir été le théâtre de 15 programmes majeurs d’exploration depuis 1973, Aurvista Gold Corporation considère qu’il est plus que temps de faire en sorte que le projet Douay, située à 40 km au sud-ouest de Matagami, devienne une mine.
La mise à jour du projet aurifère Fenelon, au nord de La Sarre, a permis à Wallbridge Mining de découvrir que le gisement contiendrait près de deux fois plus d’or que ce qui était historiquement connu.
Les opérations à la mine Géant Dormant, suspendues depuis novembre 2014, pourraient reprendre dès l’automne.
La hausse des teneurs a permis à la mine Éléonore de Goldcorp de produire 68,9 % plus d’or au cours du deuxième trimestre de 2016 qu’à pareille date un an plus tôt. Les coûts de production ont quant à eux pratiquement diminué de moitié.
Après avoir découvert à Malartic ce qui est en ce moment la plus importante mine d’or à ciel ouvert du Canada, les fondateurs de la défunte Corporation minière Osisko pourraient-ils être en mesure de répéter leur exploit, mais cette fois sous terre e
Après avoir remporté le prix de la Découverte de l’année au congrès Xplor 2015 pour son projet Eau Claire, Ressources Eastmain consacrera une énergie particulière à un autre projet situé en Jamésie: Mine Eastmain.
Après une année de transition, les beaux jours semblent être revenus à la mine Casa Berardi, où la production d’or au deuxième trimestre de 2016 s’est accrue de 35,6 % par rapport à pareille date en 2015.
Grâce à un don de 100 000 $ du Partenariat Canadian Malartic, le Centre technologique des résidus industriels (CTRI) du Cégep de l’Abitibi-Témiscamingue pourra améliorer le traitement des eaux minières.
Depuis peu, il est possible de voir d’un seul coup d’œil toutes les ententes conclues entre des sociétés minières et des communautés autochtones grâce à une carte interactive réalisée par Ressources naturelles Canada.
Des investissements totalisant 132,8 M $ et étalés jusqu’en 2018 permettront au ministère des Transports (MTQ) de procéder à la réfection de plusieurs routes et aéroports du Nord-du-Québec.
Corporation Éléments Critiques (CEC) s’approche de plus en plus de l’ouverture d’une mine de tantale et de lithium à la Baie-James, alors qu’un partenaire allemand a accepté d’en financer l’étude de faisabilité.
Sans l’exploitation de l’or, l’Abitibi-Témiscamingue ne s’en serait sans doute pas aussi bien tirée en 2015, alors qu’elle a été la seule région minière du Québec à ne subir qu’un recul minime des investissements.
Ressources Métanor évalue très sérieusement la possibilité de produire de 30 000 à 35 000 onces d’or par année, dans un proche avenir, au projet Barry, situé à 116 km de sa mine Bachelor de Desmaraisville.
La montée du prix de l’or engendrée par le résultat du Brexit pourrait entraîner des impacts positifs pour l’Abitibi-Témiscamingue.
